Dans ce travail de recherche, notre équipe a exploré la possibilité d'utiliser la résonance magnétique nucléaire (RMN) in cell, c’est-à-dire directement sur des cultures cellulaires bactériennes, pour caractériser le périplasme bactérien, compartiment cellulaire en première ligne de l’action des antibiotiques. L’objectif était de suivre le devenir de ces antibiotiques dans ce compartiment, en présence ou non de l’expression par la bactérie des enzymes β-lactamases liées à la résistance bactérienne. Cette étude montre que la RMN in cell constitue un outil analytique puissant pour l'étude de nouvelles molécules ciblant les composants moléculaires du périplasme bactérien.

Vers la compréhension de la paroi bactérienne des staphylocoques dorés...

La premiere edition du Workshop des jeunes chercheurs en Résonance Magnétique (Young Investigators in Magnetic Resonances, YIMRs)

Les protéines fluorescentes photoconvertibles telles que mEos4b changent de couleur lorsqu'elles sont éclairées par la lumière UV.

Caractérisation de la liaison dipeptide cystéinyl-glycine (CysGly) au platine (II)

identification d'un animal à partir d'un milligramme d'os